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Ouverture de l'Année de la Miséricorde 

Il y a cinquante ans, à la clôture du Concile œcuménique Vatican II, Paul VI, au nom des évêques du monde entier, avec les documents de la réunion du Concile, élaborés au cours de plusieurs mois de travail, confiait à l'Église tout entière le soin de tâche d'être un Samaritain de « l'humanité ». L'Église « experte en humanité » a écouté les suggestions de l'Esprit Saint en harmonie avec l'écoute des joies et des souffrances de toute l'humanité. Les documents conciliaires sont des paroles mûries sur la longueur d'onde d'un engagement pastoral dans la tentative de fournir à l'Église elle-même, "Mère et Maîtresse", des outils valables pour donner une âme au temps et une étincelle divine aux chrétiens engagés dans la construction du Royaume projeté par Le Christ avec sa présence parmi nous réalisé avec sa Résurrection.

Conférence ecclésiale de l'Église italienne à Florence

par Andrea Fagioli

À Florence, le David de Michel-Ange est le symbole reconnu de la Beauté, même s'il ne s'agit plus que de beauté esthétique, placé tel qu'il est à l'intérieur d'un musée, hors de tout contexte. C'est beau, cela ne fait aucun doute. Mais il ne « parle » pas. Et dire qu’il est né comme symbole religieux. Le David sculpté par Michel-Ange est celui biblique, qui bat le géant Goliath parce qu'il a Dieu avec lui. En effet : dans ce jeune homme qui frappe l'ennemi à coups de fronde, son auteur a vu le Christ, défenseur de tout peuple, plénitude de tout héroïsme collectif, but de toute aspiration individuelle positive.

François

Dans notre catéchèse sur la famille, nous nous inspirons aujourd'hui directement de l'épisode raconté par l'évangéliste Luc, que nous venons d'écouter (voir Luc 7,11, 15-XNUMX). C'est une scène très émouvante, qui nous montre la compassion de Jésus pour ceux qui souffrent – ​​en l'occurrence une veuve qui a perdu son fils unique – et nous montre aussi le pouvoir de Jésus sur la mort. La mort est une expérience qui touche toutes les familles, sans exception. Cela fait partie de la vie ; or, lorsqu'elle touche aux affections familiales, la mort ne parvient jamais à nous paraître naturelle. Pour les parents, survivre à leurs enfants est quelque chose de particulièrement déchirant, qui contredit le caractère élémentaire des relations qui donnent sens à la famille elle-même. La perte d'un fils ou d'une fille, c'est comme si le temps s'arrêtait : un gouffre s'ouvre qui engloutit le passé mais aussi l'avenir.